A tout seigneur, tout honneur, nous allons clore le concours Récits de voyage Tangka par le mot du président du jury, André Bercoff, qui nous livre ses sentiments après la lecture de tous les récits de voyage déposés sur notre page facebook.
L’écrivain Jacques Chardonne affirmait que « l’amour, c’est beaucoup plus que l’amour ».
Le voyage, c’est beaucoup plus que le voyage.
Les chroniques des familiers du site Tangka n’ont manqué ni de talent, ni de diversité. Les envois se partageaient selon une ligne de clivage qui sépare effectivement deux catégories de voyageurs : ceux qui notent avec minutie, presque heure par heure, ce qu’ils entendent et voient et ceux qui concentrent leurs souvenirs sur un épisode précis, une rencontre, une vision, une relation humaine aussi furtive que magnifique, un paysage entrevu et très vite disparu.
C’est en cela que le concours fut passionnant : il a bien montré que le voyage, comme la culture, c’est ce qui reste quand on a tout oublié.
André Bercoff
Président du Jury
Angkor Wat, Cambodge – mur sculpté © Houg / Tangka
Voici le rappel des finalistes du concours :
- Morgane a gagné le voyage au Cambodge avec son récit sur Buenos Aires. Pour elle, le voyage ne fait que commencer !
- Les cinq finalistes suivants auront tout de même droit à un lot de consolation, parce qu’ils ne déméritent pas, bien au contraire, et vous nous l’avez fait savoir :
- Raphaelle pour « La belle Afrique » et son récit de voyage au Togo,
- Christine pour « Thaipusam« , et la description de cette fête impressionnante en Malaisie,
- Ma, pour « Juste irréel » et sa découverte du Manitoba,
- Léa et son « Voyage en train en Inde du sud » qui a touché beaucoup de lecteurs.
- et enfin Michèle et son « vieux mercier tunisien« , à la recherche d’un fil de laine improbable.
Encore bravo à tous les participants à ce concours un peu plus exigeant que d’habitude. N’hésitez pas laisser vos commentaires sur le concours, les récits ou pourquoi pas, envoyez-nous votre récit de voyage ici ou sur notre page Facebook. A moins que vous ne le gardiez pour une bonne occasion l’année prochaine…